QUE PENSEZ VOUS DES ESPÈCES SURNATURELLES ? ☞ Pour dire la vérité, Isadora n’a pas été vraiment surprise par l’annonce de l’existence des lycans. Pour la simple et bonne raison que son père se trouvait être un chasseur, et qu’après la mort de celui-ci, toutes ces vérités lui ont éclatées au visage, bien avant que cela n’éclate au visage du monde. Les humains les plus faibles s’imaginent que seuls les lycanthropes existent, mais ils sont terriblement loin de la vérité. Isadora n’aspire qu’à une seule chose : exterminer tout ce qui ne fait pas partie de l’ordre des choses, bien que les lycans ne soit pas son premier problème. Les vampires sont son premier souci, bien qu’elle n’en n’oublie pas les lycans, après tout : une bête reste une bête, il faut s’en méfier, sous tous les aspects. QUEL EST VOTRE PLACE DANS LA SOCIÉTÉ ? ☞ D’apparence, Isadora semble être une parfaite humaine, citoyenne, et qui se préoccupe du sort de son prochain. Mais la vérité est bien plus loin que ça. Elle fait partie de la Guilde, en tant qu’exécutrice, pour éliminer tout ce qui se rapporte aux êtres surnaturels. Le côté doux et calme qu’elle dégage n’est qu’un écran de poussières, ce choix de vie lui vient en vérité de sa famille, plus précisément celle de son père. Son père était un chasseur, ce qui avait fini par causer sa perte à lui, ainsi qu’à sa famille, laissant derrière lui une fille dépassait par les évènements. Isadora a appris le statut de son père qu’après sa mort, ce qui la poussa finalement à rejoindre ses traces grâce à l’aide de sa tante. Isadora ne fait pas de demi-mesure, et ne rêve que d’une chose : pouvoir venger sa famille, et surtout protéger les humains de ces créatures qui cherchent à se fondre dans la masse qu’est l’humanité. LE DIRECTOIRE ☞ Travaillant au sein de la Guilde, le rôle d’Isadora est impliqué sans vraiment l’être avec le Directoire. Le Directoire aide et inversement. Pourtant, Isadora ne peut s’empêcher d’être septique par cette organisation. Bien que cela aide à empêcher les débordements, cela ne facilite pas pour autant le travail d’Isadora qui consiste à tuer les êtres surnaturels, ou en tout cas, à se défendre quand le besoin se présente. Elle sait parfaitement que leur but est de protéger la race humaine, mais jusqu’à quand ? Le fond du problème n’est pas tant l’organisation, qu’elle trouve plutôt sympathique, c’est le fait de devoir s’allier à des êtres surnaturels. Pourtant quand le moment se présente, elle n’hésite pas à mettre de l’eau dans son vin, pour éviter des débordements, mais la simple présence de l’un d’eux lui donnerait presque des boutons.
❝ These violent delights ... ❞
♦ isadora possède plusieurs facettes. en dehors de son statut d'exécutrice, elle est relativement ouverte, et sociable bien que ce côté là ne soit guère prononcé, puisque seul le "travail" compte pour elle. ♦ elle est en couple, mais par simple profit. ♦ isadora maitrise le mensonge à la perfection, elle peut s'inventer des identités, des personnalités, une vie entière. et elle adore ça. ♦ elle refuse catégoriquement de parler de ses parents et de son frère. elle n'en a jamais reparler depuis leurs morts, c'est un principal, elle se braque. ♦
❝ Behind blue eyes ❞
PSEUDO / PRÉNOM ☞ cherryblossom/audrey pour les intimes. PRÉSENCE ☞ plutôt régulière, mais j'imagine que ça va dépendre de mon emploi du temps à la rentrée, et du nombre de devoirs par semaine. xD OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ☞ par stace. COMMENTAIRE(S) ☞ écrire ici POSTE VACANT, SCENARIO OU INVENTÉ ☞ inventé. COMPTE PRINCIPAL OU DC ☞ compte principal. AVATAR ☞ nina dobrev ♥
Dernière édition par Isadora-Baja Kessler le Dim 28 Aoû - 5:10, édité 19 fois
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Sam 27 Aoû - 12:08
you were a child who was made of glass.
Ma vie avait toujours été calme, ma famille était présente, et aucunes ombres obscures ne s’étaient montrées. Je vivais mon adolescence pleinement, souhaitant devenir décoratrice d’intérieur. J’avais un frère plus jeune, une mère aimante, et un père parfois absent mais toujours présent lorsqu’il le fallait. C’était une vie presque parfaite, comme bien des gens en rêve. Je savais que j’étais chanceuse. Mes parents étaient toujours fou l’un de l’autre, après tant d’années, pendant que je voyais les parents de mes amis divorcer petit à petit. WHEN DID WE LOSE OUR WAY? Pourtant, depuis ma naissance, on m’avait caché bien des choses. Un secret de famille que j’allais apprendre à la suite de cette nuit tragique. Je me refusais d’en parler, parce que c’était un principe, c’était mon point faible, et on m’avait toujours appris à cacher les faiblesses pour empêcher l’ennemi de pouvoir les percer à jour. Ce moment avait été le pire de ma vie, une blessure qui ne s’était jamais refermée. Une blessure qui m’avait poussée à devenir la femme que j’étais à présent. Chaque nuit, mes rêves étaient rythmés par ce décor sanglant qui avait détruit chaque parcelle de mon être, de mon existence, de ma vie. Tout avait été basé sur un mensonge, mais au fond, ce n’était pas ça le souci. CONSUMED BY THE SHADOWS. Ce moment, je semblais le revivre chaque jour de ma vie. Je ne pouvais m’empêcher de m’en vouloir de ne pas avoir été présente, comme si ma présence aurait pu arrêter ces personnes, ces êtres supérieurs. Je rentrais chez moi, la nuit était déjà tombée, j’étais resté tard chez une amie pour finir un projet d’école. Arrivée devant ma porte, je n’avais pas eu besoin de la déverrouiller, celle-ci était entre ouverte. Mon rythme cardiaque était soudainement monté en flèches, puis l’horreur s’était présentée à moi. SWALLOWED WHOLE BY THE DARKNESS. Un bain de sang. Les meubles étaient dans un piteux état, démontrant bien la violence de ce moment, accentuer par la vue de ma mère, de mon père, et de mon frère, gisant sur le sol, comme de vulgaires bêtes qu’on venait d’abattre. J’étais incapable de respirer, mon cœur tambourinait tellement fort dans ma poitrine que j’avais la sensation que j’allais exploser d’une seconde à une autre. Les larmes brouillait ma vue, pendant que je m’approchais des corps des êtres aimés, tombant finalement à genoux à côté du corps de ma mère, pendant que mes mains tremblantes se posait sur son corps pour venir la coller contre moi, contre ma poitrine, comme dans l’espoir de l’entendre respirer, ou de sentir son cœur battre. Le sang couvrait mes vêtements, mes bras et mon visage. J’étais dans un état de paralysie, je ne pouvais me rendre compte de ce moment, de la violence de cette scène. « Maman… Ma… » J’étais incapable de parler à cause de la douleur, et des sanglots qui contractait ma gorge. La porte de la maison était grande ouverte, n’importe qui qui passait par là pourrait admirer l’horreur de la scène, en s’imaginant que j’étais impliquée. Je ne pouvais plus retenir mes larmes, j’en étais incapable, mais ce n’était plus des larmes de tristesse, plus de rage. Une profonde colère montait en moi, pendant que je m’accrochais à présent aux corps de mon frère et de mon père. Mais une main se posait sur mon épaule, m’obligeant à relever le visage vers cet intrus, cette personne qui osait m’arracher de ma torpeur. DOES THIS DARKNESS HAVE A NAME? « Isa… Viens avec moi. » Malgré ma vue brouillait, je pouvais reconnaitre le visage de ma tante. Je dégageais mon épaule de son emprise. « Laisse-moi tranquille. Je ne veux pas partir. » Mais sans trop savoir comment, elle avait réussi à me détacher des cadavres de mes parents, me tenant d’une poigne de fer par les épaules. Ce n’est qu’au pied de la porte que je me rendais compte de la situation. « LAISSE-MOI. » Son regard était froid, à présent, je pouvais m’en rendre compte, les larmes avaient séchées le long de mes joues, pendant que j’admirais à moitié le sang dont mes vêtements étaient tachées. Le visage de ma tante était impassible, comme si voir son frère dans cet état lui faisait ni chaud ni froid. « Comment peux-tu être ainsi alors que ton frère est… » mais j’étais incapable de dire que mon père était mort, non, c’était trop pour moi. Elle avait refermé la porte, pour m’empêcher de poser un regard sur ce spectacle. « Je t’expliquerai tout quand on sera chez moi. Mais on doit partir, on ne sait jamais… ils pourraient revenir. » Et c’était en rentrant chez elle qu’elle m’expliquait tout. Qu’elle me permettait de mettre des choses à l’espace manquant dans mon histoire. Je comprenais enfin les absences à répétitions de mon père. Mon père était un chasseur. Non, pas le genre à chasser les sangliers, mais plutôt les vampires, les loups garous. J’étais passée par plusieurs stades : l’ignorance, le rire, la tristesse, puis le sérieux. Il avait fallu une bonne dose de courage à ma tante pour m’expliquer tout ça. J’avais seize ans, et toute ma vie venait d’être bousculer d’une façon plutôt inattendue. Elle m’expliquait que mon père avait traqué un groupe de vampires, mais finalement, les méchants venaient de triomphé. « Je veux me venger. » Je venais de la couper dans son récit, et d’un regard malicieux, elle avait simplement dit. « Je me doutais que tu dirais ça. » IS IT YOUR NAME?
i'm the shell of a girl that i used to know well.
« Relève-toi. » La voix de ma tante devait de résonner dans la pièce, pendant que j’étais sur les genoux, au sol, incapable de retrouver de la force dans mes jambes. « On ne peut pas s’arrêter un petit peu, je suis fatiguée. » En quelques secondes, je me retrouvais debout, plaquer contre le mur qui se trouvait derrière moi. « Tu crois qu’ils vont attendre que tu te reposes un peu, et qu’après, ils essayeront de te tuer, quand tu auras regagné ta force ? » Elle me relâchait finalement, pendant que je me maintenais au mur. « Ils ne me connaissent pas. On s’entraine sans arrêt depuis des mois et des mois. On ne pourrait pas faire autre chose ? Aller au cinéma ? » Ma tante s’était retournée vers moi, le regard furieux. « Aller au cinéma ? Tu crois que ton père est mort pour que tu ailles au cinéma ? » Son ton était sec, et ses paroles me frappaient en plein cœur. Jamais nous n’avions reparlé de leurs morts depuis le moment où j’avais découvert leurs cadavres. « Je savais que tu n’étais pas prête, tu prends ça à la légère. Comme si on était dans une série à la Buffy contre les vampires. » Sa référence me faisait sourire à moitié, mais cela me vexait d’avantage qu’elle me pense incapable de quoi que ce soit. « Tu sais que je prends ça au sérieux. » Ma tante s’était approchée à nouveau de moi, le regard déterminée. « Alors prouve-le. Prouve-moi que tout ce travail n’a pas été en vain. Tu fais partie de la famille Kessler, tu as décidée de prendre les pas de ton père, alors ne fais pas honte à sa mémoire. » Alors qu’elle s’apprêtait à quitter la salle d’entrainement, comme on appelait ça, alors que ce n’était qu’une vieille cave réaménager, j’avais foncé sur elle, comme une énième attaque, mais se doutant de mes intentions, elle m’avait porté un coup au visage, me fendant la lèvre par la même occasion. Mais cela ne m’arrêtait pas pour autant pendant que je l’entendais dire. « C’est honteux d’attaquer un ennemi par derrière. Où est l’amusement dans tout cela ? » Par un énième geste, j’avais réussi à la mettre à terre, pointant un couteau que j’avais cachée, au niveau de sa gorge, peut-être même un peu trop puisqu’une perle de sang coulait le long de son cou. « C’est bien, mais tu peux mieux faire. » Les semaines, les mois, les années étaient passées. La colère que j’éprouvais à cause de ma vie me poussait à me renfermer peu à peu sur moi. Ma tante m’avait aidé à maitriser les armes blanches, ainsi que les armes à feu, puis le taekwondo. Ma tante m’avait accompagné pendant un long moment, m’épaulant, m’aidant à découvrir cette vie que je n’aurais jamais imaginé être mienne. Par un hasard pur et simple, j’avais finis par découvrir une organisation appelait La Guilde, regroupant des exécuteurs, et d’autres humains qui sortaient un peu du lot. C’était ainsi que je finis par perdre la route de ma tante, incapable de savoir où elle se trouvait. Plus tard, j’ai finis par apprendre que même les membres de la famille ne savait pas où elle était, me poussant à redoubler d’efforts dans ma tâche. Venger ma famille, mais retrouver ma tante, celle qui m’avait tout appris, et qui était devenu comme une mère de substitution.
it was your heart on the line.
Dans une vie comme la mienne, le mensonge est primordial. Bien que les lycans soient devenu un commun parmi les humains, malgré une peur certaine dans le monde, je ne pouvais pas parler de mon activité. Pour mon bien, et pour celui des gens qui m’entouraient. Il était difficile d’expliquer aux gens que notre occupation principale n’est pas d’aller en soirée, ou de voir ses amis, mais plutôt de traquer des êtres qui seraient susceptibles de supprimer une vie sans aucuns scrupules. Ma tante m’avait dit que dans une vie comme la mienne, il fallait éviter les relations amoureuses par tous les moyens, pour éviter d’être distrait, et de mettre l’autre en danger. J’avais plutôt bien réussis jusqu’à présent, jusqu’au moment où ma route finit par croiser celle de Ellison Haynes, un jeune journaliste, qui venait à peine de rentrer dans le métier. Le hasard faisait bien les choses, puisqu’il s’intéressait de près aux lycans, mais également aux légendes qui pouvaient les entourés. Je faisais donc d’une pierre deux coups. Je me servais grossièrement de notre histoire pour avoir des informations à travers son métier, tout en passant pour une personne purement innocente, juste profondément curieuse. J’étais attachée à sa personne, mais peut-être pas autant qu’il l’aurait espérer. J’étais incapable d’aimer quelqu’un, par peur de perdre cette personne. J’avais finis par m’inventer une vie, en mentant sur mes parents, mon enfance, mes origines. Il tombait dans le panneau, cela aurait pu devenir un jeu amusant, si les sentiments n’étaient pas en jeu, si sa sécurité n’était pas en jeu. « Je te fais confiance. » Voilà les mots qu’il m’avait dits lorsqu’il m’avait parlé de sa passion pour les lycans, les vampires. Je savais que sa passion allait le dévorer, que s’il allait trop loin, je ne pourrais pas le sauver, par peur de me mettre moi-même en danger.
[...]
« Où étais-tu ? » Il se tenait là, au niveau du canapé, après avoir allumé la lampe de la pièce. Surprise, je lâchais mon sac au sol, relevant le regard vers Ellison. « Je… et bien… » En vérité, cela faisait quelques semaines qu’il avait emménagé chez moi, à cause d’un dégât des eaux dans son appartement, mais parfois, je me demandais si la situation ne l’arrangeait pas. « Je t’ai attendu pour dîner. » Je faisais une grimace, presque horrifié par la banalité de la situation. « Tu me trompes ? » Et la situation ne faisait que devenir d’avantage grotesque. « Quoi ?! Non, bien sûr que non. » Il s’était approché de moi, posant une main forte sur mon épaule, et d’un geste purement instinctif, comme si je sentais le danger qui me guettait, je lui avais saisi le bras, pour venir lui plaquer dans le dos, dans un geste rapide. Entendant son gémissement de surprise, j’avais lâchée mon emprise sur son bras. « Je suis désolée, j’ai juste été surprise… je… » Il me fixait. « Qui es-tu ? » Je le fixais, une énième fois surprise par cette question dont j’étais incapable de répondre. D’ailleurs, il ne me laissait même pas l’occasion de lui répondre, qu’il avait déjà pris sa veste, et était parti. Depuis ce jour, nous n’avions plus parlé de cette petite altercation purement stupide, mais je le sentais prendre des distances avec moi, comme si il soupçonnait que je n’étais pas la personne qu’il pensait que j’étais.
Dernière édition par Isadora-Baja Kessler le Dim 28 Aoû - 4:52, édité 21 fois
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Sam 27 Aoû - 19:43
Bon je ne vais pas te souhaiter la bienvenue parce que tu es là depuis longtemps. Mais je ne résiste pas à poster dans ta fiche quand même. XDD Nina en combattante, ça va changer un peu! Il me tarde de lire ta présentation, voir ce que tu vas en faire. Bon courage et tu sais où me trouver si jamais tu as d'autres questions!
Dakota Halloran
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Sam 27 Aoû - 23:03
Enfin quelqu'un qui va jouer Nina Dobrev différemment, je suis curieuse de voir ce que ça va donner
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 0:05
YEAH, une humaine exécutrice. Avec Dobrev en plus, je plussoie les filles, ça change. Bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 5:01
je suis heureuse de voir que le choix de personnage peut plaire, c'est vrai que j'avais peur de tomber dans le système vampire diaries, je vais pas cacher que le caractère du personnage s'inspire un peu de celui de katherine, mais globalement, je vais faire tout mon possible pour faire le plus original. en tout cas, merci à vous, et surtout encore merci lily pour supporter mes questions.
bon, et bien, je pense avoir terminé ma fiche.
Eryn C. Healey
Ϟ VAMPIRE Ϟ Good to the last drop.
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 5:06
C'est un personnage qui promet vu son caractère, surtout avec Dobrev. Bienvenue. Et en passant, j'adore ta façon d'écrire.
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 5:09
J'adore le personnage, il est dément. Tu as une très jolie façon d'écrire, j'ai très vite accroché.
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 5:14
merci beaucoup, j'avais l'impression d'avoir bâclé, mais voir que ça plait, ça me fait réellement plaisir. merci, vraiment.
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end) Dim 28 Aoû - 7:57
Je kiffouille ta présentation! Tu peux donc officiellement arrêter de flipper pour rien, car je t'annonce que tu n'as pas fait de bourde, ni oublié quoi que ce soit. C'est une petite chasseuse attachante que tu as là. Je te valide, et je souhaite un bon jeu!
Premières étapes
Félicitations, tu es validé! Afin de t'aider à te repérer, voici les premières démarches que nous te conseillons de faire. Avant tout, penses à te rendre dans ce forum pour remplir les registres de ta race, si ce n'est pas déjà fait. Tu peux également remplir ton emploi (avec l'anpe, le directoire ou la guilde). En cas de besoin, tu peux faire une demande de lieu. Il y a aussi les logements, les rangs. Pour développer le personnage, nous conseillons d'ouvrir une fiche de liens et de rp. Et tu peux même créer un scénario. N'hésites pas à nous rejoindre dans le flood et dans tous les cas, amuse toi bien sur le forum!!
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Sujet: Re: isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end)
isadora-baja ▲ everything's gone but the pain carries on. (end)