AGE ☞ 23 ans, mais seulement 19 ans en apparence
ORIENTATION SEXUELLE ☞ Hétérosexuelle
ORIGINES ☞ Irlandaise
RACE ☞ Vampire
CASTE ☞ soumise
OCCUPATION ☞ Serveuse, je sais pas encore où, je verrais en m'inscrivant à l'ANPE si ça ne gêne pas
CARACTÈRE ☞ Franche - Courageuse - Pertinente - Extravertie - Optimiste - Drôle - Observatrice - Loyale - Débrouillarde - Buté - Casse-Cou - Impatiente - Jalouse - Impulsive - Autoritaire - Colérique - Violente- Insolente

POURQUOI AVEZ-VOUS DÉCIDÉ DE VOUS TRANSFORMER ? ☞ A la base, je ne devais être qu'une humaine lambda qui donne son sang gentiment comme un petit mouton. Mais disons que ma fidélité m'a offert un avantage quand mon créateur a dû partir car le fait que rien ne change chez lui est devenue suspect. Je ne sais pas s'il était attaché à moi, mais moi je l'étais et j'avais peur de mourir. Je savais que comme ma mère mes forces me quitteraient petit à petit et un matin, je n'aurais plus la force d'ouvrir les yeux. Je me laisserais sombrer doucement. Et je ne voulais pas que mon père souffre, il avait déjà perdu sa femme, c'était bien assez. Alors, je lui ai demandé s'il pouvait m'emmener avec lui. Pas forcément en temps que vampire, même en simple humaine, j'avais la ferme intention de lui rester fidèle, même s'il partait. C'est lui qui m'a proposé la transformation, peut-être ne voulait-il pas me voir m'éteindre à petit feu, je n'en ai pas la moindre idée. Ma transformation a eu lieu avec mon consentement.
COMMENT S'EST DÉROULÉE VOTRE TRANSFORMATION ? ☞ Contrairement à certaine personne, je pense que mentalement j'étais prête à devenir ce qu'on faisait de moi. Je savais quel doute et quelle peur j'allais devoir affronter. Ce qui changerait en moi au fur et à mesure. Je savais tout ça car mon créateur a pris le temps de m'expliquer ce que je devenais petit à petit. Alors, je n'avais pas vraiment peur. C'était un mélange d'appréhension et de lutte. Car chacun lutte à sa manière. Ce qui m'a poussé à me battre, c'était de savoir ce qui m'attendez à mon réveil. Mon créateur. Dont -pas si secrètement que ça- j'étais amoureuse. C'est aussi gnangnan que ça en à l'air. Ce qui m'a poussé à prendre le dessus c'est le fait de savoir que je vivrais avec lui pendant au moins 150 ans avant de choisir si je traçais ma propre vois ou si je restais avec lui. Mon seul doute résidait dans ce qu'il ressentait pour moi, mais mon besoin d'être auprès de lui à largement prit le dessus. Et me voilà, 4 ans plus tard, à grogner dès que le parfum d'une fille imprègne ses vêtements, à jalouser la moindre fille qui aurait le droit à plus d'attention que moi. C'est aussi pathétique que ça.
COMMENT SE PASSE LA COHABITATION AVEC VOTRE VAMPIRE ? ☞ Cela ne fait que 4 ans. Comment voulez-vous qu'en 4 ans je me sois habituée à cette nouvelle condition ? Mon humanité est encore bien ancrée en moi. Je dirais que c'est la partie vampire qui lutte le plus. Elle essaye, force, tâte le terrain, j'ai l'impression qu'elle veut découvrir les failles dans mon humanité. Et dernièrement, je pense qu'elle la trouvait. Le petit trou dans mon humanité n'est autre que mon créateur. C'est un petit trou fait du besoin d'être auprès de lui. Je sais comment elle va s'y prendre. Ma partie vampire va amoureusement suivre les conseils de son créateur. Elle va prendre le dessus car, elle sait que l'humanité ne résistera pas au besoin d'être avec lui pour toujours. Mon vampire est intelligent et il connait ma faiblesse. J'ai peur pour ma part d'humanité.
LE DIRECTOIRE ☞ J'aurais tendance à dire que je m'en fiche. Et le pire, c'est que c'est sans doute vrai. J'ai appris à ne faire confiance et à n'écouter que mon créateur. Les vieux restes de l'humaine peste que j'étais sont bien là et lorsqu'il s'agit de l'autorité j'ai parfois du mal à courber l'échine si l'ordre ne vient pas directement de mon maître. C'est aussi pour ça qu'en présence d'autre vampire, il n'hésite pas à me rappeler à l'ordre avant pour que je me tienne tranquille. Enfin pour en revenir au directoire, je suis trop jeune pour m'en mêler, les discutions la-dessus m'agace plus qu'autre chose. Si on m'oblige à participer à un débat, je participe en disant que ça ne m'intéresse pas, c'est tout.

Elle avait un ours en peluche qu’elle a toujours et qui s’appelle Thédore – C’était son père qui avait trouvé ce nom – elle était allergique au pollen – elle c’est toujours sentit coupable pour la mort de sa mère – sa marque de chaussures préférés est Louboutins – pourtant, elle porte pratiquement tout le temps des converses – elle en possède un dizaine de paire - elle ferme les yeux pour réfléchir – elle aimerait que le chocolat est encore du goût – elle a tendance à grogner quand une fille vampire approche de trop prés son créateur – c’est la seule personne en qui elle a réellement confiance – elle suce son pouce parfois, vieille habitude d’humaine – il lui arrive de tout à faire une « crise », elle rigole de tout en ayant les « larmes » aux yeux – elle dit tout le temps « fait chier », « c’est cela oui » « tout à fait » - elle fait souvent des grimaces pour faire rire les gens – elle est persuadé que la chanson « Marguerite » de Saez est une déclaration d'amour – Education de la grande bourgeoisie française. Mère française. Père musicien et Irlandais. Né à Glasgow. 23 ans. aime l'odeur café - préfére les bruns - sérieuse dans son travail - a le sens de l'humour - fronce souvent les sourcils - se ronge les ongles - avait un chat siamois nommé Zazou - a bien les pieds sur terre - joue de la guitare et du piano - fait du taekwondo depuis qu'elle a 5 ans - pleure rarement - a du mal à dire je t'aime - farouche - confond souvent le "s" et le "c" - aime le rugby - dors parfois les pieds à la tête et la tête au pied dans son lit - a peur de l'orage et des clowns - gosse de riche et assume - a toujours eu ce qu'elle voulait - bavarde - parle anglais et français - vulgaire par moment - accroc à son téléphone portable - fume pour se calmer - rigole toujours quand il ne faut pas - aimait le champagne - aime Londres - adore le théâtre - aime peindre - dessine plutôt bien - a une collection impressionnante de CD - trouve Justin Timberlake sexy - ne sait pas fermer les portes doucement - elle est amoureuse de son créateur.

« Une maman est semblable à une rose qui ne se fane jamais. » - en tout cas, c'est ce qu'on dit.

C'était le seul jour de congé de Maria, la femme à tout faire de la maison, d'habitude, Mr Fitzgerald ne travaillé pas ce jour là. Il restait à la maison avec sa fille et sa femme. Mais aujourd'hui, il y avait eu une urgence. Jack avait 8 ans. « N'embête pas maman Théodora, aujourd'hui elle est très fatiguée. » Traduction = aujourd'hui la maladie de maman lui fait beaucoup de mal. Mais c'était sans compter sur l'estomac de la petite fille. Elle était allongée près de sa mère quand cette dernière entendit le ventre de sa progéniture grognait. « Tu as faim ? » La petite fille hésita, elle connaissait sa mère, elle tiendrait à se lever et si ... ? « Un peu, mais on peut commander quelque chose si tu veux, pas la peine de te lever. » Mais c'était trop tard, la mère était déjà en train se de lever. Chacun de ses membres lui était douloureux à déplacer, pourtant elle sourit à sa fille « Je vais te faire ton gâteau préféré. » C'était un geste anodin pour une femme de faire un gâteau, pourtant de minces filets de sueur coulait le long des temps de la femme alors qu'elle remuait la pâte dans un saladier. Elle s'activait derrière les fourneaux, elle en faisait trop. Elle n'était pas en état. De peur de se faire crier dessus la petite fille n'osa pas lui dire de retourner se coucher. Pourtant, elle aurait dû. Quand le père rentra et qu'il vit sa femme devant les fourneaux, il enlaça son corps chétif, rachitique presque. La femme disparaissait presque sous sa grande chemise de nuit. La femme se laissa complètement allait dans les bras de son mari, le laissant la porter jusqu'à son lit comme une princesse. Sauf qu'il y a longtemps qu'elle ne l'était plus. « Maman ... » Le père de Jack lui intima d'un regard de se taire. La petite fille fit la moue mais, se contenta d'entamer une partie du gâteau que sa mère venait de sortir du four. Il était encore chaud. Elle n'entendit pas l'échange entre son père et sa mère à l'étage. « Tu n'aurais pas du Théodora, tu es trop faible pour préparer un gâteau. » La femme lui lança un regard empli de chagrin et de peur. « Je sais que c'est la dernière que je lui fais son gâteau. » L'homme avala sa salive avec difficulté, il savait que c'était bientôt la fin, pourtant, il ne pouvait s'y résoudre. Comment survivrait-il sans sa femme ? Que deviendrait Théodora (qui portait le même prénom que sa mère) si elle grandissait sans modèle féminin ? Il embrassa sa femme. Pour la dernière fois sans le savoir. Car le lendemain matin, la petite fille vint se blottir dans les bras de sa mère. « Maman, tu es toute froide ... » En attendant ça, le mari de Théodora qui somnolait à côté de ce câlin mère/fille se leva d'un bond, écartant la petite fille de sa mère. Il chercha un pouls, à tâtons, aveuglé par les larmes. « Théo ... s'il te plait ... » Mais il savait. Il comprenait ce que sa femme avait voulu dire hier. Il serra contre lui le corps trop maigre de sa femme, écartant Théodora d'un geste de la main. La petite fille qui entendit Maria arriver en bas se précipita dans les marches, courant, en sautant quelques une au passage. Elle vint se blottir contre la poitrine généreuse de la femme à tout faire. Pleurant à chaude larme. Hoquetant entre chaque parole « Maman ... Elle ... Elle est toute froide. Elle est au ciel hein ? ... Elle est partie ? » La femme caressa doucement les cheveux de la petite, la berçant comme le faisait Mr Fitzgerald avec le corps de sa femme. « Dis-toi qu'elle ne souffre plus maintenant ma chérie. » Mais Jack avait peur. Elle était terrorisée. Elle n'avait plus de mère. Au dessus d'elle, même Maria laissait les larmes roulaient le long de ses joues. Tout le monde avait toujours aimé Mrs Fitzgerald.

« Est-ce que tu as envie de quelque chose Théo … Jack. » C’était la première fois que l’homme l’appelez par son second prénom. La petite fille ne dit rien. Du haut de ses huit ans elle comprenait à peu près ce que son père ressentait. « Une glace, j’ai envie d’une glace. » C’est comme ça que ça a commencé. Sa mère venait d’être enterrée et son père lui demandait déjà ce qu’elle voulait. Mais vous vous doutez bien qu’elle ne c’est pas arrêté à une simple glace. Cette dernière est devenue une paire de chaussures, de beaux vêtements, une nouvelle coiffure, du maquillage et du vernis. C'est ainsi que la gentille petite fille que madame Gallagher avait connu est devenue une petite peste à qui on cédait le moindre de ses caprices.


« Imagine que Martin Luther King est dit : « J’ai fait un rêve... mais j’ai pas envie d’en parler ». »

« Maria ... » La femme à tout faire qui était encore là, 10 ans plus tard regarda la jeune fille, elle portait encore son pyjama. Cependant, il n'avait rien avoir avec une des habituelles nuisettes en satin que portait la jeune fille. Elle s'attendait à avoir un reproche fait par la jeune fille mais celle-ci s'approcha d'elle et la serra dans ses bras. D'abord, surprise la gouvernante ouvra de grands yeux ronds, mais elle se reprit rapidement et serra la jeune fille dans ses bras. « J'ai fait un rêve très étrange. » Tout en parlant, elle commença à se servir un grand bol de céréales aux chocolat, bien qu'elle trouve ça étrange qu'il y en est encore alors que dernièrement elle ne mangeait que des pamplemousses le matin. Enfin bon, elle ne s'attarda pas sur ce détail et fini de préparer son petit-déjeuner sous l'œil complètement médusé de Maria. « J'ai rêvé de ma fête d'anniversaire, pour mes 18 ans. » La gouvernante s'attendait déjà au pire. « J'ai rêvé que je mourrais en tombant dans des escaliers parce que je voulais aller chercher de l'alcool dans la cave et qu'une moi plus vieille m'emmener dans le futur, dans le passé, à des endroits où je ne pouvais pas être et qu'elle me montrait qui j'étais avant que maman meurt et la personne que j'allais devenir si je restais la peste que je suis. » Maria n'osa pas souffler un mot, elle se contenta de regarder la jeune fille prendre un vrai petit-déjeuner tout en l'écoutant raconter son rêve et ses impressions sur le rêve qu'elle avait fait. « C'est vraiment très bizarre. Ce que j'ai vu ne m'a pas plus du tout. Je ne peux pas devenir la personne que j'étais dans le futur. » Et tendis qu'elle commençait à pleurer devant son premier petit-déjeuner consistant depuis près de 5 ans, elle sentit les bras de Maria l'entourait tendrement. Elle se retrouva 10 ans plus tôt, le matin de la mort de sa mère. Bercé par les bras réconfortant de la gouvernante et appuyé contre la poitrine généreuse de cette dernière. « Je suis tellement désolée d'avoir été si affreuse avec toi Maria ... » C'est ce moment que choisi le père de Jack pour entrer. Il regarda l'étreinte tendre que partageaient la gouvernante et sa fille et ne comprit pas. Tout en réconfortant Jack, Maria essaya d'expliquer au mieux la situation. « Eh bien Jack, tu n'es pas la seule fautive. Après la mort de ta mère, je n'ai pas été un père exemplaire. Je m'en excuse. » « Et moi j'ai été une sale petite peste. Je suis désolée aussi. » Après une étreinte tendre avec son père, la jeune fille termina de déjeuner, rangea elle-même son bol dans le lave-vaisselle et monta dans sa chambre en sautant le plus de marche possible. Elle entassa dans des cartons toutes les robes hors de prix que son père lui avait acheté et descendit un à un les cartons toujours sous les yeux médusé de son père et sa Maria. « Je vais les donner à une œuvre de charité, ils n'auront qu'à les revendre pour ce faire de l'argent. Je peux ? » Elle préféra tout de même demander l'autorisation à son père. Ce dernier osa tout juste hocher la tête en signe d'affirmation tant il était surpris par l'attitude de sa fille. « Ce rêve m'a réveillé papa, je vais devenir quelqu'un de bien, la fille que maman aurait voulu que je sois. Je sais que bientôt je serais aussi malade qu'elle, j'ai fait le test papa, moi aussi je suis malade. Alors, je vais en profiter pour faire quelque chose de bien dans ma vie. » Le père ne put s'empêcher d'à nouveau la serrer contre elle et de laisser les larmes couler silencieusement sur ses joues. Il avait déjà perdu sa femme et dans peu de temps il savait à présent qu'il perdrait sa fille. Il ne se doutait cependant pas que ça ne serait pas à cause de la maladie. « J'y vais. » Elle fila sous la douche, enfila un vieux jeans, un t-shirt ample et une paire de converse. Rien de superflu sur celle, pas de bracelet ou de bijoux hors de prix. Elle ne prit même pas la peine de se maquiller. Quelle importance ? Elle aurait voulu appeler quelqu'un, partager ça, mais elle savait qu'elle devait accomplir ça seule. Elle rangea sur mieux qu'elle put la dizaine de carton qu'elle avait dans sa voiture flambante neuve et se dirigea vers le local d'œuvre de charité le plus proche. Sachant qu'elle allait mettre un temps fou à faire des aller retour, elle interpella un homme qui passait dans la rue « Excusez-moi, vous pouvez m'aider à transporter tous ses cartons ? Je voudrais donner tout ce qu'il y a dedans. » L'homme, surpris mais serviable l'aida gentiment. Cependant, il ne put s'empêcher d'être curieux « Pourquoi voulez-vous donner toutes ses robes hors de prix à œuvre de charité ? » La jeune fille se sentit encore plus honteuse que d'habitude face à cet inconnu doté d'un charme certain et d'un sourire à tomber par terre. Elle ébouriffa ses cheveux qu'elle avait à peine prix le temps de coiffer et murmura « Parce que j'ai honte de ce que je suis devenue. » Elle doutait que l'homme l'est entendu, pourtant il lui adressa un gentil sourire sincère. Il posa son regard sur elle et elle ne put s'empêcher de rougir comme une tomate, jamais elle n'avait lu autant de gentillesse dans un regard. D'habitude, elle n'attisait que haine, respect ou admiration, mais aujourd'hui l'homme était juste gentil avec elle et elle se sentit encore plus belle que lorsqu'elle n'avait droit qu'à des regards admiratifs. Elle lui sourit aussi et elle avança ensuite en regardant par terre.

« J'ai moins peur à vrai dire des vampires que de ton souvenir. »

« Attend, attend ... c'est la troisième fois. » Jack essayait de rester calme, mais face à l'approche des crocs du vampire, elle se sentit soudainement moins sûr d'elle. Elle ne doutait pas de lui. Jamais elle n'en douterait. C'était d'elle qu'elle doutait. « Jack, ne t'en fais pas, ça va bien se passer. » Malgré ses crocs qui le gênaient, il déposa un baiser sur la bouche de la jeune fille. Il ne ferait rien tant qu'elle ne serait pas totalement prête. La jeune fille ouvrit de grand yeux quand il l'embrassa, mais cela eut le don de l'apaiser et à présent elle se sentait prête « Tu peux y aller. » Elle se laissa aller contre son torse tendis qu'il plantait ses crocs dans sa gorge. Elle n'était pas rassurée, mais elle savait à quoi elle aspirait et ça lui suffisait pour se tenir correctement, pour ne pas bouger. Elle se sentit presque quitter son corps avant qu'on la force à boire un liquide rougeâtre. Et voilà. Sa nouvelle vie commençait.

« Tu rentres tard. » Elle le fixa au-dessus d'un livre qu'elle avait déjà lu 100 fois. « Tu étais où ? » Il ébouriffa ses cheveux « Je croyais que c'était toi l'enfant de nous deux Théodora. » Elle grogna et lui sauta dessus. Il se laissa tomber en arrière, par terre. Elle ne s'arrêta pas de grogner « Ne m'appelle pas Théodora ! Je t'ai dis que depuis que ma mère est morte tout le monde m'appelle Jack. Et tu sens le parfum de fille. » Il se redressa pour s'asseoir, Jack toujours sur lui. Il l'attira contre son torse. « Théodora, ça fait plus fille que Jack. Tu ne serais pas un peu jalouse toi ? » Il passait son temps à la taquiner à ce sujet, se doutant un peu des sentiments qu'elle nourrissait à son égard. « Je préfère Jack. Jalouse ? Moi ? D'une fille que tu t'es tapé ? Alors là, pas du tout. » Il la regarda droit dans les yeux, tout crocs dehors. Elle s'écarta juste à temps. Il eut à peine le temps de sourire que deux crocs luisant brillaient dans la bouche de la jeune fille. « Ne joue pas à ça avec moi Théodora ! » Jack courba l'échine, malgré elle, ses crocs se rétractèrent et elle ferma les yeux, signe qu'elle réfléchissait. « Tu m'aimes ? » Il ne répondit pas, il ébouriffa ses cheveux et l'embrassa sur le front. « On en a déjà parlé 100 fois. Tu sais ce que je ressens pour toi. Merde Théo', tu as 19 ans. J'en ai 289. Tu as plus l'âge d'être mon arrière, arrière, arrière -et j'en passe- petite fille que ma petite amie. » Elle grogna de nouveau malgré elle « J'ai 23 ans. » « Ça ne change absolument rien. » Elle se planta face à lui, plus sérieuse que jamais. « Embrasse-moi. » Elle aurait voulu pouvoir le forcer à faire quelque chose comme sur les humains. « Non. » Elle grogna de nouveau puis tourna les talons « Tu m'emmerdes ! » Elle se recroquevilla sur elle-même dans un coin, grognant à chaque fois qu'il essaya de l'approcher. Si on excluait le sujet des sentiments qu'ils nourrissaient l'un vis-à-vis de l'autre et la passion de son créateur pour les filles, Jack était une infante parfaite, elle écoutait tous les ordres de son créateur, ne le contredisait jamais et se conduisait très bien en présence d'autres vampires.

PSEUDO / PRÉNOM ☞ NANA
PRÉSENCE ☞ 4/7
OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ☞ moi aussi je suis une lopienne
COMMENTAIRE(S) ☞ aucun pour le moment
POSTE VACANT, SCENARIO OU INVENTÉ ☞ inventé
COMPTE PRINCIPAL OU DC ☞ compte principal
AVATAR ☞ Kaya Scodelario